La Self-Love Dance est une free-zone où les corps peuvent exister dans leur plénitude, avec leurs défauts et où les personnes apprennent à danser avec elles-mêmes, à s’aimer elles-mêmes. Simona Soledad a conçu ce projet pour un petit groupe de danseuses à Cuba. À l’époque, il s’agissait d’aider les femmes à s’émanciper de deux types de représentations : celle à laquelle les soumette le regard occidental – exotiques, pulpeuses – mais également celle véhiculée par la culture populaire du reggaeton, extrêmement sexualisée et misogyne.
Elle l’a ensuite adapté, avec l’association FEMMESProd, au public bruxellois et propose des ateliers de manière mensuelle.