Le terme « Sorcière » est présent un peu partout ces derniers temps. Le livre de Mona Chollet « Sorcières, la puissance invaincue des femmes » est au cœur de nombreuses discussions, on le retrouve dans toutes librairies et il est en tête des listes de ventes. Dans les manifestations, des groupes de femmes habillées de noir se revendiquent du « Witch Bloc » et de nombreuses manifestantes ont été photographiées portant le slogan : « Nous sommes les petites filles des sorcières que vous n’avez pas réussi à brûler ». Comment expliquer cet engouement ? Peut-on parler d’un retour des sorcières ?
Et qu’est-ce qu’une sorcière ? Est-ce que l’on fait référence à celles qui peuplent nos imaginaires et livres d’enfants, telle la méchante belle-mère métamorphosée en hideuse vieille femme qui présente une pomme empoisonnée à « Blanche-Neige » ? Et s’il était question d’autre chose ? Aujourd’hui, des femmes « autrices, militantes, artistes, activistes » s’emparent de ce sujet pour rendre compte d’une vérité historique et nous faire découvrir qu’entre le 14ème et le 18ème siècle, des milliers de meurtres de femmes ont été orchestrés par des hommes d’Église et de pouvoir. Cette « chasse aux sorcières » nous a profondément marqué et elle a influencé toute l’organisation de la société patriarcale actuelle (privatisation des terres, division des rôles, dé-possession du savoir des femmes, etc.).
Dans un monde en plein effondrement, qui ouvre tardivement les yeux sur la destruction massive de notre terre, que peuvent aujourd’hui nous apporter ces faits historiques ? A quoi servirait-il de pratiquer des rituels, de se revendiquer « écoféministe », de réapprendre le respect de la nature, de tisser des liens symboliques et réels de connexion à nous-même, à la terre, aux autres êtres humains et vivants ? Voilà les questions que j’aborderai avec vous dans ce nouveau thème : « Sorcières : They can’t burn us all ».
A vos baguettes et à la magie de vos pouvoirs 💫
En 1484, le Pape Innocent VIII, lance officiellement la « Chasse aux sorcières » et les inquisiteurs, Sprenger et Kraemer publient en 1486, l’ouvrage « Malleus Maleficarum » qui explique, dans sa 1ère partie, en quoi les femmes, à cause de leur faiblesse et de l’infériorité de leur intelligence, seraient par nature prédisposées à forniquer avec Satan. La seconde partie consiste en une sorte de Manuel, expliquant comment procéder : de la capture, à l’enquête physique pour trouver la marque du diable sur le corps de la sorcière, au jugement, à la détention et à l’élimination des sorcières.
Ce livre, grâce à l’invention toute neuve de Gutenberg, fut imprimé en format de poche et réédité à plusieurs reprises, il constitue la preuve (encore lisible aujourd’hui) que de pures fabulations misogynes sont devenues la base d’une idéologie qui a mené à la torture, au bannissement, au meurtre, à l’immolation de milliers de femmes et de leurs alliés. Contrairement à ce que l’on imagine, c’est à la Renaissance que les grandes chasses se sont déroulées ne laissant dans certains villages qu’à peine une à deux femmes encore vivantes.
Elles ont servi à instaurer un climat de méfiance dans des communautés autrefois liées par le travail collectif et les ont détruites en ciblant systématiquement les femmes qui détenaient des savoirs (connaissances de la nature - guérisseuses, herboristes -, des cycles de la vie - sage-femmes -) ou encore celles qui vivaient en autonomie. On a ainsi la certitude que cette « chasse » a permis de faciliter l’instauration de la privatisation des terres au détriment des communautés (capitalisme), l’exploitation destructrice de la nature, la privation des savoirs traditionnels des femmes par les « nouveaux » médecins et ce, en matant toute révolte par la peur.
Les hommes ont utilisé le feu pour brûler les femmes qui dérangeaient afin de faire disparaître toute trace de leur existence. Mais aujourd’hui des femmes se lèvent, prennent la plume pour réhabiliter cette partie de la Grande Histoire afin que nous puissions l’étudier, la connaître et peut-être aussi déconstruire cette peur face à l’exercice de leur autonomie.
La sorcière a souvent été représentée drapée de noir, portant un chapeau pointu et se déplaçant à califourchon sur un balai en plein ciel. Une vieille femme aux cheveux gris, le visage ridé et le nez crochu. Mais connaissez-vous la symbolique qui existe derrière chacun de ces éléments ?
Tout d’abord, le fait que ce soit une femme âgée plutôt laide nous renvoie à une image très négative de la vieillesse féminine. Les femmes plus âgées ont été expressément ciblées dans la chasse aux sorcières parce qu’elles représentaient l’expérience et le savoir. Le culte de la jeunesse était déjà à l’œuvre à l’époque.
Quant à ce grand chapeau noir et cette cape, j’ai découvert leur origine lors d’une pièce de théâtre : « Le monde renversé ». Au moment de la privatisation de la terre des villageois.e.s au profit des seigneurs, des hommes et des femmes se sont révolté.e.s et se sont caché.e.s dans les forêts. Les femmes, plus susceptibles d’être agressées dans ces forêts, dissimulaient leurs formes sous cet accoutrement pour ne pas être reconnue comme telle.
La couleur noire du chat et des vêtements de la sorcière font expressément référence au monde de la nuit, à l’obscurité, à l’irrationnel, au fameux « Satan » créé de toute pièce par l’Église Catholique. Le nez crochu et le « Sabbat » nous renvoient aux clichés liés aux juifs qui ont subi, eux aussi, les persécutions menées par l’Église.
Finalement, le balai qui permet à la sorcière de s’élever dans le ciel serait une allégorie de la liberté d’aller et venir. Ce bâton, qu'elle montait à califourchon et qui pouvait faire penser au sexe d’un homme, soulignait l’autonomie d’une femme ne dépendant pas d’un mari.
Ce mot aurait été utilisé pour la 1ère fois en 1974 dans le livre : « Le féminisme et la mort ». Cependant, on retrouve déjà son essence, en Inde, dans les années 70’, au sein du mouvement « Chipko » qui s’est organisé contre la déforestation en utilisant une stratégie non violente : les femmes entouraient les arbres de leur bras pour empêcher qu’on les abatte.
Le concept d’écoféminisme, liant les termes d’écologie et de féminisme, vient du constat qu’il existe de nombreuses similitudes entre l’exploitation, la destruction de la nature et la domination que subissent les femmes. Il a surtout été développé chez les anglo-saxons. Un des moments clés s’est déroulé à Arlington (U.S.A.), dans les années 80, où plus de 2.000 femmes se sont rassemblées pour la Women’s Pentagon Action pour manifester contre les guerres, la nucléarisation de leur pays et la destruction de la planète.
Parmi elles, se trouvait Starhawk, sorcière californienne, qui va mettre en mots « cette magie qui rassemble » dans son livre « Rêver l’obscur, Femmes, magie et politique ». Le mouvement va doubler l’année suivante. Pendant ce temps, en Angleterre, le plus grand campement écoféministe se rassemble à Greenham Common : l’écoféminisme est né !
Dans les années 90, le mouvement s’essouffle mais il semble retrouver un nouvel écho dans les manifestations pour le climat. Le 8 mars dernier, Greta Thunberg tweetait : « Plus je lis sur la crise climatique, plus je réalise à quel point le féminisme est crucial. Nous ne pourrons pas vivre dans un monde durable, à moins que tous les genres et les personnes soient traitées de façon égale. »
Plusieurs mouvances se manifestent dans l’écoféminisme mais le dénominateur commun est qu’il s’agit d’un mouvement rassembleur fondé sur la non-violence, la diversité raciale, sociale et culturelle et l’inclusion de toute personne souhaitant protéger la nature et le vivant dans son ensemble.
Les écoféministes déconstruisent le patriarcat, s’emparent des rituels, se relient à la nature, mettent en lumière l’histoire des Femmes et ce faisant peuvent être considérées comme des Sorcières et parfois même se revendiquent comme telles.
Les rituels sont considérés comme des gestes chargés de sens et porteurs d’une intention de transformation. C’est une façon puissante de conscientiser notre état intérieur et de favoriser des changements. Nos plus anciens rituels tournent autour de la mort. Ainsi, les cérémonies de mise en terre par exemple sont censées aider les vivants à intégrer ce décès et à poursuivre leur vie tout en honorant cette perte, en lui faisant une place.
Du temps des sorcières, plusieurs personnes étaient responsables des rituels qui marquaient le passage des cycles, notamment celui des saisons. Ainsi, le temps des récoltes et plantations était lié à certains moments de l’année. Ces fêtes symbolisaient la reliance des humains à la terre, à son rythme et leur permettaient de s’organiser ensemble pour le travail. Ces liens permettaient de garder à l’esprit que la vie est faite de cycles et que nous en faisons partie au même titre que tous les autres êtres vivants.
La chasse aux sorcières a malheureusement fortement contribué à briser ces liens qui soudaient la communauté paysanne et son respect de la nature. Les cérémonies païennes ont été récupérées par l’Église, interdites hors de son cadre, et la terre est devenue un simple objet d’exploitation en faveur du profit.
Aujourd’hui, de nouvelles sorcières, telle Camille Ducellier, se réapproprient les rituels et tentent de recréer des liens entre l’être de chair, la terre et le cosmos. Pour ce faire, elles s’inspirent des anciennes pratiques liées aux plantes, se retrouvent en « convent » (cercle), chantent, dansent et expriment leurs intentions, relient leurs cycles à ceux de la lune, etc.
Si les rituels n’avaient d’autres intérêts que de permettre de se sentir relié à soi, aux autres et à la terre afin de prendre soin de tout ce qui nous constitue… Quels seraient les vôtres ?
Le mot « sorcière » provient du latin et se traduit « diseuse de sorts ». Les sorcières sont des personnes qui peuvent connaître la destinée. Starhawk parle de cette magie en expliquant que celle-ci n’a finalement rien de si incroyable si on la comprend comme notre capacité à regarder et à vivre le monde dans ses interconnexions et son fonctionnement tant dans ses côtés obscurs que dans sa lumière. Pour développer son pouvoir de divination, il faut connaître son passé et le comprendre, analyser les mécanismes qui ont construit notre histoire et nous ont menés là où nous sommes aujourd’hui.
La chasse aux sorcières coïncide avec l’instauration d’un monde dans lequel la raison (si chère à Descartes) est devenue la seule autorité valable, disqualifiant tout autre type de savoir et de lecture de notre environnement. Cette direction dans notre histoire a instauré ce que l’on appelle la « culture de mise à distance », qui conditionne encore aujourd’hui tous nos rapports avec ce qui nous est extérieur et parfois même intérieur.
Nous aurions pu choisir un autre chemin que celui de la domination par la raison, de la mise en clôture, de la propriété privée détruisant les communs, de la coupure de tous les liens d’interdépendance qui nous unissent à la nature, aux autres êtres vivants et humains. Les sorcières d’aujourd’hui disent qu’il est possible de « reclaim » (se réapproprier) nos pouvoirs, d’agir et d’aller puiser la magie que nous possédons toutes et tous en nous pour créer de nouveaux récits.
L’histoire des sorcières résonne comme notre capacité à reconnaître les récits d’hier, à les accepter comme faisant partie de nous, à comprendre leurs conséquences et progressivement à les déconstruire pour aller de l'avant. Nous avons la possibilité d’écrire ensemble une toute nouvelle page de l’Histoire, alors quel monde voulez-vous ?
Sophie est une sorte d'Alexandra David-Neel de l'humain. Elle a exercé sa curiosité et sa passion tour à tour en portant les étiquettes d'avocate, de chargée de projets d'ONG, de médiatrice, de formatrice. Aujourd'hui, elle est particulièrement active en planning familial et en intelligence collective. Elle s'appelle "écrivaine" depuis peu mais entend bien s'épanouir tant personnellement dans sa voie qu'en encourageant l'empowerment des femmes. Les différentes passions qui se bousculent dans sa tête traitent des voyages, de l'ecofeminisme, de la nature, la littérature, la justice et toutes les formes de créativité. Elle est en charge du département podcast de l'association.
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